En
conclusion, nous avons vu, par le biais de ce site internet, que le e-commerce
crée des nouveaux territoires de la mondialisation. Mais nous avons surtout appris
le « comment », étudié le
processus de mondialisation permis grâce à l’avènement du commerce en ligne. Les
pays moins développés tendent à atténuer leur retard numérique sur le reste du
monde, laissant ainsi place à un marché du commerce en ligne lucratif et
attractif. Nous avons vu que, grâce à ce nouveau marché, de nombreux
entrepreneurs investissent dans ces pays pourtant jadis délaissés, repoussant
ainsi les frontières du libre-échange (internationalisation des échanges avec
les pays émergents). Le e-commerce a donc entraîné une intégration de ces pays
dans la mondialisation, dans l’échange avec le reste du monde et dans l’interdépendance.
Puis, dans un second temps nous avons étudié les tendances de ce « nouveau »
type de commerce, afin d’anticiper son futur. Nous avons appris qu’il
changerait de formes sur plusieurs points : changement du business model,
changement des appareils sur lesquels on commande. Mais grâce à cette partie la
chose essentielle à retenir est que, dans les années à venir, les pays
actuellement les moins développés devraient voir leur croissance croître très
fortement par l’action du e-commerce et petit à petit, verraient cette fracture
Nord/Sud se diminuer.
La
société a connu de nombreuses mutations (en termes de relations sociales ou
encore d’habitudes d’achats) à la suite de l’arrivée du e-commerce, et nous
pourrions dès lors nous demander si ce commerce est ou sera vecteur d'autres bouleversements et mutations dans la société. Un nouvel objet d'étude...